Objectifs stratégiques

Le plan d’action est la prochaine étape. Quelles actions vous semblent prioritaires pour atteindre ces objectifs ?

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  • Le DFS doit être engageant et courageux pour permettre l'avenir

    Bandol Littoral - 04 Juin 2019 - 16h18

    La valeur du DSF comme document phare pour le développement du territoire littoral (SCoT, SDAGE, PLU) l'oblige à ne pas être en deçà des loi et stratégies existantes. L'artificialisation est l'un, sinon le facteur le plus impactant pour le milieu marin, et notamment sur les posidonies. Le bon état des écosystèmes garantie la résilience des milieux et de nos zones d'habitats humaines. Cette condition prioritaire impose des objectifs sur le moyen et long terme engageant tel qu'un objectif non pas de 5% mais de de 0% d'artificialisation nette du littoral, au même titre que la loi pour la Biodiversité. Le DSF en l'état, manque avec peut-être de fermeté. Les engagement de ce document de planifications doivent être forts pour ne pas être dépassés par les effets exponentiels du changement climatique. On connait les facteurs d'impacts, il faut les réduire pour inverser la tendance.

  • Le DFS doit être engageant et courageux pour permettre l'avenir

    Bandol Littoral - 04 Juin 2019 - 16h18

    La valeur du DSF comme document phare pour le développement du territoire littoral (SCoT, SDAGE, PLU) l'oblige à ne pas être en deçà des loi et stratégies existantes. L'artificialisation est l'un, sinon le facteur le plus impactant pour le milieu marin, et notamment sur les posidonies. Le bon état des écosystèmes garantie la résilience des milieux et de nos zones d'habitats humaines. Cette condition prioritaire impose des objectifs sur le moyen et long terme engageant tel qu'un objectif non pas de 5% mais de de 0% d'artificialisation nette du littoral, au même titre que la loi pour la Biodiversité. Le DSF en l'état, manque avec peut-être de fermeté. Les engagement de ce document de planifications doivent être forts pour ne pas être dépassés par les effets exponentiels du changement climatique. On connait les facteurs d'impacts, il faut les réduire pour inverser la tendance.

  • Une mer durable est une mer vivante

    Nathalie Caune - 04 Juin 2019 - 15h25

    En dépit des objectifs de la DCSMM, on sait que le BEE ne sera pas atteint d'ici 2020. Les rapports scientifiques internationaux fixent 2030 en échéance pour inverser l'effondrement de la Biodiversité. Chaque semaine de nouvelles études aggravent les prévisions du changement climatique : on parle maintenant de 2m d'élévation du niveau de la mer. Un récent porté à connaissance pour le risque Inondation-Submersion marine zone une large partie du territoire littoral du Var en zone basse comme devant être limité dans son développement urbain.
    Or les objectifs environnementaux du DSF restent tièdes face à l'urgence. Le DSF ne pourra pas rendre de mesures réellement efficaces en adaptation au changement climatique sans une affirmation plus impérieuse des priorités écologiques du vivant et des écosystèmes. La priorité sine qua non est le bon état des milieux. La définition du BEE doit conserver la mention "dans le cadre de leurs conditions intrinsèques" et ne pas être un alibi économique.

  • Quelles actions prioritaires pour atteindre ces objectifs

    GADSECAFM - 03 Juin 2019 - 15h59

    Créer des espaces de protection intégrale (réserves marines), des zones interdites de mouillage sur certaines parties des caps (actuellement les 300 m pour le balisage ne pouvant s’effectuer qu’au droit d’une plage) avec un rôle actif des associations et de l’Etat pour le repérage et la promotion à l’échelle de la façade des meilleures pratiques développées par les collectivités locales et le monde économique.
    Mettre en place des outils d’anticipation et d’évaluation des risques. Suivi resserré de l’exécution des chantiers, en particulier pour vérifier ce qu’effectuent les prestataires.
    Encourager les polices de port à éduquer les navigateurs à adopter des attitudes respectueuses de l'environnement

  • Engager un processus de reconquête

    Nycmimi - 02 Juin 2019 - 20h57

    Engager un processus de reconquête et de desserrage des pressions en créant des espaces de protection intégrale (réserves marines), des zones interdites de mouillage sur certaines parties des caps (actuellement les 300 m pour le balisage ne pouvant s’effectuer qu’au droit d’une plage) avec un rôle actif des associations et de l’Etat pour le repérage et la promotion à l’échelle de la façade des meilleures pratiques développées par les collectivités locales et le monde économique.
    Mettre en place des outils d’anticipation et d’évaluation des risques. Suivi resserré de l’exécution des chantiers, en particulier pour vérifier ce qu’effectuent les prestataires.
    L’approche hydro-morphologique des sols et des indicateurs de paysage tels que proposés par l’IRSTEA permet d’identifier trois types de zones et surtout les types d’intervention à effectuer sachant que la plupart des communes littorales ont fait l’inverse (forte densification et artificialisation des sols sur le littoral).

  • Cohérenc des objectifs au niveau européen

    doudou - 02 Juin 2019 - 12h32

    S'il semble irréaliste de chercher une cohérence au niveau méditerranéen, compte tenu de l'absence d'organisation adéquate des questions environnementales dans les pays d'Afrique du nord, il semblerait tout à fait faisable que cette cohérence soit analysée au niveau de la CEE, par le DSF. Les récentes dissonances sur la pêche électrique ont mis en évidence l'extrême "discordance" entre l'intérêt général et des considérations national(ist?)es.

  • Contribution de l'ASPONA (association de protection de la nature Menton et Roquebrune Cap Martin)

    ASPONA - 19 Mai 2019 - 20h58

    La mise en œuvre de l’objectif stratégique A6 – transcription de la loi biodiversité de 2016 – doit intervenir le plus rapidement possible afin de bloquer le projet d'extension sur la mer « à des fins balnéaires » dans la baie Ouest de Menton, compte tenu du taux d'artificialisation qui atteint près de 95%.
    Pour dynamiser et démocratiser le plan d’action sur l’ensemble de la façade, il conviendrait de modifier les règles qui régissent actuellement les appels à projets de l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée-Corse afin de permettre que des subventions puissent être octroyées à des projets de petite taille conduits par des associations de protection de l’environnement.
    Il convient de développer l’échange de bonnes pratiques sur toute la façade afin de populariser les réalisations qui ont permis de rétablir l’état antérieur du littoral (site, paysage, biodiversité marine), et pas seulement de nouveaux aménagements. L’ordre des priorités dans les vocations devrait mieux apparaître.

  • Le plan d'action doit être pour l'intérêt général, pas pour satisfaire des corporations !

    Noël C - 17 Avril 2019 - 15h38

    Qui d'autre que l’État (ou l'Union Européenne) est légitime pour porter le développement des énergies renouvelables, d'un tourisme littoral accessible à tous, d'une qualité d'eau littorale retrouvée ? Certainement pas les communes, ni les régions, ni les fédérations professionnelles ou de loisirs qui ne représentent que les intérêts de leur corporation ou fédération...

  • Plaisance et loisirs

    Thomas - 11 Avril 2019 - 13h54

    La plaisance semble assez peu traitée dans ce document, alors que ses effets sur l'environnement peuvent être notables:
    - méga yachts sur la côte d'Azur qui constituent des nuisances fortes: toutes lumières allumées la nuit, moteurs qui tournent même à l'arrêt (bruit la nuit), pollution, ...
    - bruit des jet-skis ou de certains navires rapides
    - moteurs polluants

    Pourquoi ne pas fixer des cibles à atteindre plus contraignantes ?
    D'une part, sur la sensibilisation des plaisanciers qui pour beaucoup, sont très peu sensibilisés à l'environnement. Des actions pourraient être menées par les ports/capitaineries/associations/fédérations... pour atteindre tous les plaisanciers.
    D'autre part, sur des contrôles de pollution des navires
    Enfin sur l'interdiction de mouillages dans certaines zones par les yachts qui ne peuvent éteindre leur moteur...

  • Objectif I: Contribuer à un système de transport maritime durable et compétitif

    Thomas - 11 Avril 2019 - 13h43

    En complément de mon premier point, concernant cet objectif, il faudrait à mon sens viser comme cible/indicateur la création d'une zone à émissions faibles (ECA) sur toute la Méditerranée française, voire à l'ensemble des pays méditerranéens comme le demande l'Espagne je crois?

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