Objectifs stratégiques

Le plan d’action est la prochaine étape. Quelles actions vous semblent prioritaires pour atteindre ces objectifs ?

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  • L'urbanisation/Le paysage accompagner (rapidement les élus)

    MALAGUENA - 04 Juin 2019 - 09h35

    Dans les années 70/80/90, grâce à la MIACA (Mission Interministérielle Aménagement de la Cote Aquitaine) et au plan d'aménagement, la cote Aquitaine a été préservé et urbanisé avec intelligence, créant le paysage touristique actuel. Depuis la fin de ce plan, les élus locaux sont en roue libre et livré à leur incompétence. Ce n'est pas un reproche mais un constat, on ne peut pas être maire agent d'assurance professeur des écoles ou agriculteur et urbaniste gestionnaire du patrimoine ... Ils subissent la pression des promoteurs immobiliers qui veulent profiter des espaces verts et vierges de la cote Atlantique. Les plu sont modelés pour permettre cette urbanisation libre et irréflechie. Au même titre que la plan d'aménagement de la MIACA il est urgent et nécessaire de définir des zones vertes ou l''urbanisation ne sera autorisée qu'avec parcimonie. Il faut faire cela très vite car déjà la départementale le long du littoral est entrain de devenir un grand lotissement...

  • la gestion des lacs côtiers de Gironde et Landes /qualité de l'eau

    Mulcey Claude - 03 Juin 2019 - 09h43

    Les lacs côtiers ont des canaux ou rivières qui les relient et se déversent ensuite dans l'océan : leurs eaux sont régulièrement contrôlées, et servent souvent à l'approvisionnement en eau potable pour les villes. Les lacs de Cazaux/Sanguinet/Biscarrosse, et de Biscarrosse/Parentis et d'Aureilhan sont bien gérés par la Communauté des Grands lacs, et sous NATURA2000

    -membre du comité de pilotage local du site Natura 2000 FR7200714
    "Zones humides de l'arrière dune des pays de Born et de Buch "

  • économie de la mer / pêche durable

    Mulcey Claude - 03 Juin 2019 - 09h30

    Si l'on veut une pêche durable, et de ce fait imposer les périodes d'interdiction de la pêche selon les dates de frai des espèces, il parait nécessaire d'avoir un système compensatoire de financement des entreprises de la pêche professionnelle durant ces périodes. Il ne faut pas contraindre les bateaux de pêches français, si ceux des autres pays peuvent ne pas s'y soumettre aux mêmes règles des quotas dans les ZEE françaises, il en va de la survie de la pêche française.

  • Pollutions des eaux

    Mulcey Claude - 02 Juin 2019 - 22h53

    il faut éviter les débordements des produits pétroliers lors des avitaillements! il est nécessaire de modifier les réservoirs afin d'éviter les rejets de trop plein par les trous d'évent que ce soit sur les bateaux professionnels ou de ceux des plaisanciers; aussi empêcher les débordements des trop pleins par des dispositifs , des réceptacles mis sur les tuyaux de remplissage , rendant étanche les orifices des réservoirs : évita

  • la pêche durable

    Mulcey Claude - 02 Juin 2019 - 22h46

    il faudra nécessairement respecter les temps de frai des poissons et ne pas les pêchers pendant ces mois selon les espèces... le Golfe de Gascogne est en baisse par sa ressource, les recherches IFREMER prouvent par le nombre de poissons n'ayant pas les tailles , donc trop jeunes encore - nous devons lutter CONTRE LA DESTRUCTION DE L'OCÉAN ET LA DISPARITION DES PÊCHEURS ARTISANS - respect des la bande des 3 MN des côtes pour l'interdiction des pêches par les fileyeurs, interdiction dans les zones des frayères par les gros chalutiers - interdiction de toute pêche électrique dans la ZEE 200NM

  • UN CATALOGUE INOFFENSIF (2)

    Philippe GARCIA - 28 Mai 2019 - 20h53

    On peut déjà dire que c'est un échec dans le Parc Naturel marin de la Gironde où les maigres sont ciblés soit juvéniles soit géniteurs en train de frayer, au choix, sur Arcachon où les chaluts sont autorisés à moins de 3 milles des côtes et autour du banc d'Arguin, dans l'estuaire de l'Adour ou des dérivants ciblent les saumons et autres aloses survivantes, bien que ce soit une aire NATURA 2000 pour eux (qu'est-ce que ça serait sinon??!) ou dans l'aire NATURA 2000 côte basque rocheuse où il n'y a aucune contrainte pour la pêche.
    À propos des amphihalins et des « Zones fonctionnelles halieutiques » ; il y a une très grosse lacune : la bande marine côtière est le lieu de vie des aloses et des esturgeons, mais c'est aussi la zone de connexion obligatoire des salmonidés qui longent la côte pour rechercher leur estuaire natal : c'est exactement la zone qu'il faut libérer pour les laisses passer...

  • UN CATALOGUE INOFFENSIF (1)

    Philippe GARCIA - 28 Mai 2019 - 20h53

    Le zonage semble logique.
    Le catalogue des objectifs est comme d'habitude pléthorique, attractif est même merveilleux.

    Reste à savoir ce qu'il en sortira, notamment de ces phrases qui se télescopent « Renforcer la gestion des ressources halieutiques et la dimension environnementale pour une activité de pêche professionnelle durable » et « Limiter les pressions sur les espèces de poissons vulnérables ou en danger voire favoriser leur restauration et limiter le niveau de pression sur les zones fonctionnelles halieutiques d'importance » et aussi « Favoriser une exploitation des stocks de poissons, mollusques et crustacés au niveau du rendement maximum durable »

  • PASSER DES INTENTIONS AUX ACTES (2)

    Philippe GARCIA - 28 Mai 2019 - 20h52

    Il faut protéger les 2 premiers milles de tout le littoral marin des filets de pêche, professionnels et amateurs, pour soulager les nourriceries, restaurer la connexion des amphihalins, réduire les captures accidentelles d'oiseaux et de tortues marines, protéger les fonds marins et réduire accidents et conflits d'usage.
    Il faut interdire la pêche du bar pendant le frai pour sauver nos cétacés (et le bar) , il faut sanctuariser ROCHEBONNE avec autre chose qu'une aire NATURA 2000 bidon (une de plus).
    Il faut vite passer des intentions aux actes.

  • PASSER DES INTENTIONS AUX ACTES (1)

    Philippe GARCIA - 28 Mai 2019 - 20h51

    L'environnement doit être la priorité n°1, avant l'emploi, et avant le social : les moyens pour lutter contre les pollutions terrestres, et la surpêche sont inexistants .
    Il faut d'urgence inventer une fiscalité punitive contre les très nombreux fraudeurs et une fiscalité incitative pour les rares vertueux . Il faut lever des moyens institutionnels pour financer les actions de surveillance, de contrôle et de répression. 
    Il faut former nos magistrats à l'importance de l'enjeu environnemental afin que leurs jugements soient enfin dissuasifs (pollueurs, braconniers) et donc efficaces pour notre société. Il faut aussi éduquer nos jeunes dès le plus jeune âge, mais aussi les futurs marins pêcheurs qui n'entendent jamais parler de protection de la ressources dans leurs « écoles » malgré les bonnes intentions passées.

  • Pollution de la mer, plastiques et autres polluants chimiques, et surexploitation d'espèces en danger

    Nives propres - 16 Avril 2019 - 11h14

    Comme d’habitude, des études très coûteuses, et des plans d’action poudre aux yeux.
    Alors que 80 % de la pollution de la mer provient de l’intérieur des terres, je ne vois rien dans la stratégie au sujet du traitement à la source des pollutions du littoral.
    Nul besoin d’études sans fin pour constater tous les jours les atteintes à l’environnement, les rivières servent souvent de décharges pour les particuliers et les entreprises, et cela en toute impunité.
    Sur le littoral basque et landais, le pillage des espèces migratrices (saumons et anguilles en particulier) se poursuit et que les autorités en charge du contrôle ferment les yeux, et alors que ces poissons sont inscrits sur la liste rouge espèces menacées (ou en Natura 2000).
    Au lieu de multiplier les études qui ne font qu’entretenir des technocrates, il serait au minimum impératif de faire respecter la loi que cela soit à l’intérieur des terres ou sur le littoral.

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