Objectifs stratégiques

Le plan d’action est la prochaine étape. Quelles actions vous semblent prioritaires pour atteindre ces objectifs ?

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  • la qualité de l'eau de mer commence à terre.

    André Berthou - 04 Juin 2019 - 17h10

    imposer des normes sur les épandages agricoles (matières azotées, pesticides) pour améliorer la qualité de l'eau.
    Adapter les stations d'épuration pour limiter les rejets de pesticides et retenir les plastiques.

  • une implication des instances.. et donc des politiques

    An Alarch - 03 Juin 2019 - 21h37

    Actions prioritaires :
    L’appropriation par les politiques du dossier pour qu’ils soient moteurs et ambitieux pour ce projet de stratégie de façade maritime et ce à travers toutes les instances auxquelles ils participent ou qu’ils contrôlent : Assemblée Nationale, Sénat, Régions, Département, Communes, Intercommunalités, société d’HLM, comités du tourisme, compagnie des ports…. Il s’agit d’aménagement du territoire.
    Des déclinaisons locales accompagnées d’une communication ciblée vers le grand public pour que ce dernier soit conscient des enjeux..

  • Une gouvernance terre-mer pour un VRAI développement durable concerté

    APEME - 03 Juin 2019 - 20h02

    D’une part, il importe de renforcer les objectifs environnementaux dans la vision du DSF : ils doivent être au même niveau d’ambition que les objectifs économiques et sociaux.
    D’autre part, es ambitions des SDAGE et des DSF doivent être en cohérence ce qui implique de mettre en œuvre une gouvernance concertée « Terre et Mer ». Le milieu marin est le récepteur des pollutions terrestres d'origine anthropique. Les activités marines ont besoin d’infrastructures à terre. Le DSF doit s’articuler avec le SDAGE, le STRADDET Bretagne, les SCoT et PLUi.
    La fragilité des espaces littoraux, leur exposition aux intrusions salines, aux risques de submersion marine et au recul du trait de côte impose de fixer sans délai un objectif de « zéro artificialisation nette de la bande littorale ».

  • Un plan d'action rédigé d'avance

    ITC78 - 03 Juin 2019 - 11h02

    Pour moi il y a trop de prérequis et ceux ci sont criticables. Ils doivent par exemple pour l'éolien en mer être supprimés du schéma pour cause de coûts exceptionnellement élevé pour une efficacité extrêmement réduite.
    Le même investissement en économie d'énergies d'origine pétrolières pour diminuer les émissions de C02 serait beaucoup plus efficace contre le réchauffement climatique.
    Rappel en France , la consommation finale d'énergie est : fossile environ 66% électricité 24% renouvelables non électriques 11%.
    Il faut réduire l'usage du fossile, où sont les objectifs?
    Remise en cause du transport terrestre tous azimuts, plaisance à voile plutôt qu'à moteur....























  • Toujours des constats contradictoires, des perspectives manquant de clarté ! suite

    Gardez les Caps - 02 Juin 2019 - 23h35

    Il est ensuite déclaré de manière contradictoire, à propos des vocations de la zone N°4 (Manche occidentale), d’une part que cette zone donne la « priorité au transport maritime ; en veillant à la cohabitation, par ordre d’importance, avec les activités de pêches professionnelles durables, des énergies marines renouvelables » mais d’autre part que « sur cette zone, l’identification d’espaces propices aux énergies marines renouvelables doit encore faire l’objet d’approfondissement et en déborder si nécessaire, sur base des travaux menés au niveau régional » (annexe 8, p. 31). Enfin, l’incertitude reste entière face à la perspective, peu claire, selon laquelle « la connaissance mutuelle des activités, la concertation et l’analyse transversale permettent à l’ensemble des acteurs de la façade de comprendre les contraintes et les enjeux de tous et de favoriser ainsi la cohabitation des activités à enjeux pour la façade » (annexe 1, p.120).

  • Toujours des constats contradictoires !

    Gardez les Caps - 02 Juin 2019 - 23h31

    L’approche relative au développement des EMR et à leur interaction avec, notamment, la pêche professionnelle est particulièrement vague. Les constations sont contradictoires.
    Il est dit tout d’abord notamment par des cartes qui identifient des secteurs prioritaires de la pêche (annexe 0, pp. 14 à 18) qui ne sont pas exclusifs d’autres activités compatibles (transport, nautisme voir granulats) alors que d’autres cartes du même document montrent les mêmes espaces marins comme étant identifiés pour des projets éoliens en mer (annexe 0, p.22). Il est également annoncé que dans les zones de mer territoriale 5a (Golfe normand-breton et Mont Saint-Michel), 5b (Bretagne nord), 5e (Bretagne sud) et 5g (Baie de Bourgneuf et littoral vendéen) la priorité serait donnée « aux pêches et aquacultures durables » en veillant à la cohabitation avec les énergies marines renouvelables (annexe 8, p. 51).

  • Gouvernance Terre-Mer

    Maëlle Turriès - 29 Mai 2019 - 16h43

    Le lien terre-mer est peu traité dans le DSF. Or, le milieu marin est principalement impacté par les pollutions d'origine anthropique et la population bretonne est majoritairement littorale. L'articulation avec les autres documents très structurants de notre territoire est à construire.
    Cette gouvernance serait certainement pertinente pour la bonne mise en oeuvre du DSF.

  • Gestion intégrée et concertée

    FNE PaysdelaLoire - 29 Mai 2019 - 16h09

    L’atteinte du bon état des milieux marins par le DSF ne pourra être dissociée de la nouvelle stratégie nationale des aires marines protégées en cours d’élaboration. Il est nécessaire d’identifier des périmètres de préservation et de restauration des écosystèmes marins bénéficiant d’une réelle protection.

    À ce titre, la prise en compte du lien terre-mer est indispensable. Les activités humaines terrestres ont tout autant de conséquences, si ce n’est plus, pour les écosystèmes marins. Les liens avec les outils de planification de la gestion de l’eau (SDAGE, SAGE...) doivent être accentués tout comme ceux avec les documents d’urbanisme (volet maritime obligatoire des SCOT, PLU…) ou encore le SRADDET.

    Enfin, pour permettre la cohabitation entre les activités humaines et le bon état des milieux marins, il faut aussi permettre la cohabitation entre tous les acteurs, APNE inclues, notamment par le biais d’instances de concertation efficaces. Le plan d’action devra être arrêté dans ce cadre.

  • Equilibre entre efficacité et durabilité ? Non, il faut prioriser et ... interdire parfois

    Noël C - 29 Mai 2019 - 11h30

    Les objectifs stratégiques sont encore présentés en deux paquets !
    Les "socio-économiques" d'un côté et les "environnementaux" de l'autre !
    Ce n'est pas comme ça qu'on pourra créer du compromis et du consensus.
    Et ce n'est pas, non plus, en jouant sur les mots "efficacité" , "durabilité" ou en proclamant des "philosophies" que les plans d'actions pourront être mis en oeuvre : il faut que les objectifs stratégiques soient établis sur la base de compromis : par exemple, un objectif de xx xxx tonnes de production d'huîtres et moules (= aquaculture sans intrants) dans telles grandes zones où la qualité sanitaire de l'eau est bonne... et avec des interdictions là où la qualité sanitaire est trop difficile à maintenir : c'est ça de la planification :
    - interdire ici,
    - prioriser là
    et
    - sous conditions là-bas...

  • Eau et Rivières de Bretagne demande une gouvernance Terre-Mer

    Jean-Yves - 25 Mai 2019 - 18h29

    Il faudrait mettre en place une gouvernance terre-mer. Il faut que la gouvernance du milieu marin récepteur, victime des nombreuses pollutions d’origine terrestre, puisse y imposer ses objectifs de retour au bon état à la gouvernance du monde terrestre. Le plan d’action devra imposer aux SRADDET d’introduire une vision marine de l’aménagement du territoire. Les SCoT devront avoir un volet maritime qui sera décliné dans tous les PLUi. Ceux-ci auront des objectifs ambitieux en matière de protection de l’environnement marin et littoral (qualité des eaux côtières, protection de la biodiversité littorale, passage de poissons migrateurs, zones d’expansion de submersions marines et de recul du trait de côte,…). L’accent sera mis sur un objectif immédiat de zéro artificialisation nette de la bande littorale.

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