Commentaire général

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  • Faciliter les procédures administratives

    André Berthou - 04 Juin 2019 - 17h14

    Les régions ayant droit à l'expérimentation, la stratégie de façade pourrait permettre de régionaliser les décisions et ainsi simplifier les procédures administratives qui ralentissent la mise en place de projets innovants, respectueux du milieu et porteurs d'emplois.

  • Limiter la pêche de Loisir sur les estrans

    violette - 04 Juin 2019 - 17h02

    L’analyse des pressions sur les habitats benthiques distingue cinq types d’habitat : habitats
    rocheux (intertidaux, subtidaux et circalittoraux) ; fonds sédimentaires ; habitats biogéniques (maërl, zostère marine, récifs d’hermelles ainsi que laminaires et sables coquilliers) ; prés salés atlantiques.
    Un de ces habitats : les roches de l’estran est soumis à une pression très forte de la pêche de loisir qui fait disparaitre de nombreuses espèces par les affouillements ou encore retournement des roches (les animaux meurent car leurs conditions de vie sont modifiées, c’est la cas de toute une petite faune : Ophiures, Ascidies, Nudibranches etc) . Il serait souhaitable que des zones précises de l’estran des zones de la mer territoriale soient interdites à la pêche de loisir pour préserver la biodiversité. Cela a été mis en place dans les Charentes avec des résultats très intéressants pour la vie marine de l’estran.

  • le DSF NAMO met l'économie en priorité et non pas la protection du milieu marin

    violette - 04 Juin 2019 - 16h59

    Les influences du milieu terrestre et bassins versants sur les espaces littoraux et maritimes sont très importants. La dégradation des eaux des fermes aquacoles mais aussi des eaux côtières est liée à L’agriculture intensive et l’artificialisation littorale. Vu les impacts de l’urbanisation littorale, il est souhaitable que les SCoT et par conséquence les PLU préconise le « zéro urbanisation littorale » en suivant le DSF qui devrait être strict sur ce point. D’ailleurs la loi biodiversité préconise l’objectif « zéro artificialisation nette ».

    La carte des vocations : C’est une planification des 13 zones, aucune zone sauf la 5c n’a une vocation de protection pure, c’est le secteur économique (pêche industrielle, énergies marines, granulats etc) qui est mis en priorité. Les objectifs environnementaux devrait être prioritaires étant donné l’effondrement de la biodiversité Cette planification n’est pas rigoureuse, elle devrait donner des priorités strictes.

  • France Nature Environnement émet un avis défavorable sur le DSF NAMO

    FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT - 04 Juin 2019 - 16h24

    France Nature Environnement partage les recommandations de l’Autorité environnementale et les nombreuses critiques formulées sur le DSF NAMO (absences notables d’indicateurs et cibles pour de nombreux objectifs environnementaux, cartes des vocations n’intégrant pas les objectifs environnementaux, manque d’articulation entre les différents objectifs du DSF…). Par ailleurs, France Nature Environnement a formulé un certain nombre de propositions fortement soutenues lors de la consultation préalable et lors de la consultation institutionnelle. Celles-ci n’ont pas été reprises, pire, les objectifs environnementaux ont été revus à la baisse. En l’état actuel du DSF NAMO, France Nature Environnement exprime un avis défavorable. Les propositions de France Nature Environnement ont été envoyées à la DIRM NAMO.

  • cohérence entre les intentions et la réalité des procédures administratives

    jpgrata - 04 Juin 2019 - 00h04

    Merci pour votre démarche participative, nous sommes tous soucieux de voir notre environnement respecté et protégé.
    Parmi les objectifs stratégiques environnementaux et socioéconomiques : le développement d’une économie bleue durable et la préservation d’un littoral attractif.
    Le littoral restera attractif s’il n’est pas dénaturé par des activités industrielles trop proches de nos côtes et de nos plages. Et le développement d’une économie « durable » doit monter sa viabilité économique et donner les garanties sur le respect de l’environnement marin.
    Pour les exploitations d’algoculture et d’ostréiculture qui exploitent en mer de grandes surfaces (des centaines d’ha), le seul outil réglementaire proposé est le décret de 1983 qui vaut pour l’estran (petites surfaces). Il n’est pas adapté à la pleine mer. Il ne prévoit pas la consultation du public, pas d’étude d’impact, pas d’analyse du business plan des demandeurs. Comment dans ces conditions peut-on parler "d’économie bleue durable ?

  • avis défavorable au DSF présenté

    APEME - 03 Juin 2019 - 20h32

    Au regard des réponses que nous avons apportées aux questions posées, l'APEME émet un avis défavorable au DSF.

  • Manque d'ambition environnementale

    FNE PaysdelaLoire - 03 Juin 2019 - 16h55

    FNE Pays de la Loire regrette le manque d'ambition du DSF NAMO dans sa portée juridique et ses objectifs environnementaux. Au delà des réponses au questionnaire en ligne, notre contribution est disponible directement sur notre site internet.

  • Eolien en mer : le naufrage du bon sens !

    Michel Gay - 03 Juin 2019 - 12h38

    La première éolienne flottante en mer (dite offshore) en France a été inaugurée en grande pompe à Saint-Nazaire le 12 octobre 2017 par le secrétaire d’État à la Transition énergétique Sébastien Lecornu et quelques célébrités locales.

    COÛT DE L’ÉOLIENNE OFFSHORE
    Le coût total de l’aventure nommée Floatgen est estimé à environ 40 millions d’euros, dont la moitié pour l’éolienne elle-même. L’autre moitié se répartit entre le flotteur en béton, les divers raccordements et les ancrages. Le projet bénéficie d’une subvention de 10 M€ apportés par l’Union européenne, et de 8 millions par le Programme d’investissements d’avenir de l’État.

    En clair, près de la moitié du coût prévisionnel de ce projet est financé par les impôts des Français alors que les principaux bénéficiaires sont étrangers (allemands et danois).

  • Mise en œuvre du plan d’action du DSF

    FNPAM - 03 Juin 2019 - 12h05

    Il serait souhaitable d’avoir, préalablement à la définition du plan d’action du DSF, re-visité « l’empilage» des organismes existants à tous les niveaux « administratifs » (communes, communautés de communes, départements, régions et état) de façon à éliminer les nombreuses redondances et recommandations contradictoires qui compliquent le processus.
    La meilleure illustration de cette situation incompréhensible aux acteurs privés est la double « coordination » du projet DSF entre préfet de région et préfet maritime sans parler de l’intervention des préfets de département sur les projets locaux (enquêtes publiques par exemple).

  • Gouvernance du Littoral

    FNPAM - 03 Juin 2019 - 12h04

    Les récents conflits d’usage de l’espace littoral entre les différents acteurs de l’économie bleue démontrent qu’ils ne conduisent qu’à d’interminables actions juridiques qui ne résolvent rien et coûtent beaucoup d’argent aux entités concernées.
    Il serait surement plus satisfaisant de mettre en place un véritable processus de concertation entre tous les acteurs au sein d’un organisme reconnu pour son équilibre en termes de représentativité.
    Cette entité pourrait être les Conseils Maritimes de Façades (déclinés par façade), ce qui supposerait qu’ils soient dotés des moyens adéquats pour agir comme un véritable arbitre et prescripteur des conditions d’attribution de l’espace public maritime à un ou plusieurs porteurs de projet, sans possibilité de recours juridique systématique.

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